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Décryptage

Pourquoi les néobanques peinent à atteindre la rentabilité 

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L'opérateur télécoms Orange cherche un partenaire pour sa banque en ligne, trois ans après le lancement de ses offres. La très grande majorité des banques en ligne peinent à gagner de l'argent.

Le patron d'Orange, Stéphane Richard, a porté ce projet de banque depuis longtemps au sein de l'opérateur.
Le patron d'Orange, Stéphane Richard, a porté ce projet de banque depuis longtemps au sein de l'opérateur. (Pascal Sittler/REA)

Par Romain Gueugneau, Sébastien Dumoulin

Publié le 3 mars 2021 à 19:20Mis à jour le 3 mars 2021 à 20:00
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Stéphane Richard avait pourtant prévenu : « On fait une banque mobile pour des décennies, pas pour quelques mois. » Trois ans plus tard, le patron d'Orange déchante. Après 650 millions d'euros de perte opérationnelle, le groupe discute avec des acteurs qui pourraient entrer au capital de la néobanque.

L'opérateur télécoms, qui avait anticipé des pertes de 100 millions d'euros par an pendant les quatre à cinq premières années, n'est pas le premier à se heurter à la réalité du marché complexe des banques en ligne. Avant lui, les groupes de distribution, comme Carrefour, ont eux aussi eu du mal à percer dans la banque, malgré leur force de frappe.

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