La CGT Canon

#STOPVIOLENCE
SEXISTE et SEXUELLE

230 000 femmes sont victimes de violences conjugales chaque année. Chaque jour, 10 viols ou tentatives de viols se produisent sur un lieu de travail. 80% des femmes disent être victimes de sexisme au travail, 30% de harcèlement sexuel.

En juin 2019, après cinq ans de mobilisation, la CGT a gagné avec la Confédération syndicale internationale, l’adoption d’une norme de l’Organisation internationale du travail (OIT) permettant de protéger toutes les femmes du monde contre les violences sexistes et sexuelles.

Pour s’appliquer, cette norme doit être ratifiée par chacun des pays. Dans ce cadre, la CGT exige de nouveaux droits en France. Les lieux de travail ne peuvent être l’angle mort de la politique du gouvernement pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, il nous faut gagner :


1. La fin des propos et comportements sexistes :

Volontaires ou plus souvent issus de stéréotypes et préjugés véhiculés par les hommes comme par les femmes, les propos sexistes ont pour conséquence d’entretenir la différenciation et la hiérarchie inacceptable entre sexes. Ils conduisent à nier le professionnalisme des femmes et à les rabaisser.
Quelques exemples : les commentaires sur le physique ou la tenue des femmes, qui n’ont rien à faire dans un cadre professionnel, les « blagues » graveleuses qui instaurent un climat pesant et malsain ;


2. La prévention des violences :


3. La protection des victimes et de leur droit au travail :


Trois actions pour mettre fin aux violences

Le 25 novembre, c’est la journée mondiale de lutte contre les violences sexistes et sexuelles. Des actions auront lieu en France et dans le monde entier.

 

Plus d’infos sur egalite-professionnelle.cgt.fr